-Illustrons ce théorème par un exemple. On considère par le graphe d'interactions
-$\Gamma(f)$ donné en figure~\ref{fig:G}.
+Illustrons ce théorème par un exemple. On considère le graphe d'interactions
+$\Gamma(f)$ donné en figure~\ref{fig:Adrien:G}.
Il vérifie le théorème~\ref{th:Adrien}:
toutes les fonctions $f$ possédant un tel graphe d'interactions
ont un graphe d'itérations $\textsc{giu}(f)$ fortement connexe.
Pratiquement, il existe 34226 fonctions de $\Bool^4$ dans lui même qui
vérifient ce graphe d'intéraction.
Cependant, nombreuses sont celles qui possèdent un comportement équivalent.
Il vérifie le théorème~\ref{th:Adrien}:
toutes les fonctions $f$ possédant un tel graphe d'interactions
ont un graphe d'itérations $\textsc{giu}(f)$ fortement connexe.
Pratiquement, il existe 34226 fonctions de $\Bool^4$ dans lui même qui
vérifient ce graphe d'intéraction.
Cependant, nombreuses sont celles qui possèdent un comportement équivalent.
(au sens de l'isomorphisme de graphes). Il ne reste alors plus que
520 fonctions $f$ non équivalentes de graphe d'interactions $\Gamma(f)$.
(au sens de l'isomorphisme de graphes). Il ne reste alors plus que
520 fonctions $f$ non équivalentes de graphe d'interactions $\Gamma(f)$.