\end{equation}
\noindent active successivement les deux premiers éléments (24 est 11000)
et les quatre derniers éléments (15 est 01111).
\end{equation}
\noindent active successivement les deux premiers éléments (24 est 11000)
et les quatre derniers éléments (15 est 01111).
% , it is sufficient to establish that the set $\{t \mid t \in \mathbb{N}
% \land \textit{bin}(s^t)[i] = 1\}$ is infinite for any $i$, $1 \le i \le n$,
% where
% , it is sufficient to establish that the set $\{t \mid t \in \mathbb{N}
% \land \textit{bin}(s^t)[i] = 1\}$ is infinite for any $i$, $1 \le i \le n$,
% where
% strategy $s$, as in the synchronous mode.
Dans le mode asynchrone, a chaque itération $t$, chaque composant peut
mettre à jour son état en
% strategy $s$, as in the synchronous mode.
Dans le mode asynchrone, a chaque itération $t$, chaque composant peut
mettre à jour son état en
-fonction des dernières valeurs qu'il connaît des autre composants.
-Obtenir ou non les valeurs les plus à jours dépend du temps de calcul et
+fonction des dernières valeurs qu'il connaît des autres composants.
+Obtenir ou non les valeurs les plus à jour dépend du temps de calcul et
Soit $x^0 =(x_1^0, \ldots, x_n^0)$ une configuration initiale.
Soit $(D^{t})^{t \in \Nats}$ la suite de matrice de taille $n \times n$
dont chaque élément $D_{ij}^{t}$ représente la date (inférieure ou égale à $t$)
Soit $x^0 =(x_1^0, \ldots, x_n^0)$ une configuration initiale.
Soit $(D^{t})^{t \in \Nats}$ la suite de matrice de taille $n \times n$
dont chaque élément $D_{ij}^{t}$ représente la date (inférieure ou égale à $t$)
du système pour les itérations généralisées sont
basés sur l'absence de cycles. Ils ne peuvent donc pas être appliqués ici.
du système pour les itérations généralisées sont
basés sur l'absence de cycles. Ils ne peuvent donc pas être appliqués ici.
Comme les itérations unaires ne convergent pas pour certaines stratégies,
les itérations asynchrones basées sur les même stratégies peuvent ne pas
Comme les itérations unaires ne convergent pas pour certaines stratégies,
les itérations asynchrones basées sur les même stratégies peuvent ne pas
sont activés à chaque itération, c'est à dire si $s^t$ est
constamment égal à $2^n-1$, le délai peut introduire de la divergence.
On considère par exemple la matrice $D^t$ dont chaque élément vaut $t$
sont activés à chaque itération, c'est à dire si $s^t$ est
constamment égal à $2^n-1$, le délai peut introduire de la divergence.
On considère par exemple la matrice $D^t$ dont chaque élément vaut $t$
-ces deux configurations. Pour une même stratégies, les itérations
-asynhrones divergent alors que les synchrones convergent.
+ces deux configurations. Pour une même stratégie, les itérations
+asynchrones divergent alors que les synchrones convergent.
Intuitivement, les n{\oe}uds qui pourraient introduire des cycles dans
les itérations asynchrones sont regroupés.
Les noeuds à l'intérieur de chaque groupe seront itérés de manière
Intuitivement, les n{\oe}uds qui pourraient introduire des cycles dans
les itérations asynchrones sont regroupés.
Les noeuds à l'intérieur de chaque groupe seront itérés de manière
La \emph{relation de synchronisation} $\eqNode$ est
définie sur l'ensemble des n{\oe}uds par:
$i \eqNode j$ si $i$ et $j$ appartiennent à la même composante fortement
La \emph{relation de synchronisation} $\eqNode$ est
définie sur l'ensemble des n{\oe}uds par:
$i \eqNode j$ si $i$ et $j$ appartiennent à la même composante fortement
\end{Def}
On peut facilement démontrer que la relation de synchronisation est une
relation d'équivalence sur l'ensemble des éléments.
On introduit quelques notations: par la suite \class{i} représente la classe
d'équivalence de $i$ et $\mathcal{K}$ représente l'ensemble de toutes
\end{Def}
On peut facilement démontrer que la relation de synchronisation est une
relation d'équivalence sur l'ensemble des éléments.
On introduit quelques notations: par la suite \class{i} représente la classe
d'équivalence de $i$ et $\mathcal{K}$ représente l'ensemble de toutes
-les classe, \textit{i.e.},
-$\mathcal{K}=\{1,\ldots,n\}/\eqNode$. On peut définir les itérations mixes.
+les classes, \textit{i.e.},
+$\mathcal{K}=\{1,\ldots,n\}/\eqNode$. On peut définir les itérations mixtes.
-\begin{Def}[Itérations mixes]
-Les itérations mixes d'un système discret suit l'équation \Equ{eq:async} où
+\begin{Def}[Itérations mixtes]
+Les itérations mixtes d'un système discret suivent l'équation \Equ{eq:async} où
Ainsi $p_1$ et $p_2$ sont distinguables même s'ils appartiennent à la même
classe.
Pour gommer cette distinction, on définit le mode suivant:
Ainsi $p_1$ et $p_2$ sont distinguables même s'ils appartiennent à la même
classe.
Pour gommer cette distinction, on définit le mode suivant:
-\begin{Def}[Itérations mixes avec delais uniformes]
- Le mode mixe a des \emph{délais uniformes}si pour chaque
+\begin{Def}[Itérations mixtes avec delais uniformes]
+ Le mode mixte a des \emph{délais uniformes} si pour chaque
$t=0,1,\ldots$ et pour chaque paire de classes $(\class{p}, \class{q})$,
il existe une constante $d^t_{pq}$ telle que la propriété suivante est
établie:
$t=0,1,\ldots$ et pour chaque paire de classes $(\class{p}, \class{q})$,
il existe une constante $d^t_{pq}$ telle que la propriété suivante est
établie:
Soit une fonction $f$ possédant un unique point fixe $x^*$ et une stratégie
pseudo périodique $s$.
Si les itérations synchrones convergent vers $x^*$ pour cette stratégie,
Soit une fonction $f$ possédant un unique point fixe $x^*$ et une stratégie
pseudo périodique $s$.
Si les itérations synchrones convergent vers $x^*$ pour cette stratégie,
\subsection{Durées de convergence}
Cette section donne des bornes supérieures et inférieures des durées
\subsection{Durées de convergence}
Cette section donne des bornes supérieures et inférieures des durées
Pour simplifier le discours, on considère que les itérations
convergent en $I$ étapes dans le mode synchrone et que le graphe
d'interaction ne contient qu'une seule composante connexe.
Pour simplifier le discours, on considère que les itérations
convergent en $I$ étapes dans le mode synchrone et que le graphe
d'interaction ne contient qu'une seule composante connexe.
pour faire une mise à jour locale de son état;
\item [Temps de communication] on utilise le modèle classique de communication
$\beta+L\tau$ où $L$ est le nombre de bits transférés.
pour faire une mise à jour locale de son état;
\item [Temps de communication] on utilise le modèle classique de communication
$\beta+L\tau$ où $L$ est le nombre de bits transférés.
Cette stabilisation progressive est illustrée à la \Fig{fig:evalsync} qui
représente des exécutions synchrones dans le cas d'une initialisation avec la
valeur (00100).
Cette stabilisation progressive est illustrée à la \Fig{fig:evalsync} qui
représente des exécutions synchrones dans le cas d'une initialisation avec la
valeur (00100).
\class{1} $=\{1,2\}$, \class{3} $=\{3\}$,
\class{4} $=\{4,5\}$.}
\label{fig:evalmixte}
\class{1} $=\{1,2\}$, \class{3} $=\{3\}$,
\class{4} $=\{4,5\}$.}
\label{fig:evalmixte}
\label{sec:evalmixed}
On considère $|\mathcal{K}|$ classes de composants synchronisés.
(comme donné en équation~(\ref{eq:I})).
\label{sec:evalmixed}
On considère $|\mathcal{K}|$ classes de composants synchronisés.
(comme donné en équation~(\ref{eq:I})).
Ainsi $I$ vaut $\sum_{\class{k} \in \mathcal{K}} I_k$.
La borne inférieure pour la durée de convergence des itérations asynchrones est
\begin{equation}
Ainsi $I$ vaut $\sum_{\class{k} \in \mathcal{K}} I_k$.
La borne inférieure pour la durée de convergence des itérations asynchrones est
\begin{equation}
asynchrone.
Certaines communications issues de l'élément $4$ n'ont pas été représentées
pour des raisons de clarté.
asynchrone.
Certaines communications issues de l'élément $4$ n'ont pas été représentées
pour des raisons de clarté.