-Une autre approche utilise un certain nombre des $N$ derniers chiffres du cryptogramme pour calculer le keystream. De tels schémas sont aussi appelés chiffrements par flot asynchrones, ‘’cryptogramme autokey’’ (CTAK). L'idée de l’auto-synchronisation a été brevetée en 1946~\cite{schneier1996applied}. Elle a l'avantage que le récepteur peut auto-matiquement se synchroniser avec le générateur keystream après avoir reçu $N$ chiffres du cryptogramme, rendant ainsi facile la resynchronisation en cas d’ajout ou de perte de chiffres lors de la transmission. Des erreurs portant sur un chiffre seul seront limités dans leurs protée, affectant seulement au plus $N$ chiffres du clair-texte.
+Une autre approche utilise un certain nombre des $N$ derniers chiffres du cryptogramme pour calculer le keystream. De tels schémas sont aussi appelés chiffrements par flot asynchrones, ‘’cryptogramme autokey’’ (CTAK). L'idée de l’auto-synchronisation a été brevetée en 1946~\cite{schneier1996}. Elle a l'avantage que le récepteur peut auto-matiquement se synchroniser avec le générateur keystream après avoir reçu $N$ chiffres du cryptogramme, rendant ainsi facile la resynchronisation en cas d’ajout ou de perte de chiffres lors de la transmission. Des erreurs portant sur un chiffre seul seront limités dans leurs protée, affectant seulement au plus $N$ chiffres du clair-texte.